Comment faire des recherches généalogiques?

Pour le premier RDV en soin de l’âme LIGHT, je vous demande des informations sur l’arbre généalogique. J’ai remarqué 2 grandes tendances chez les personnes que j’ai rencontrées en soin : celles qui ont déjà fait des recherches généalogiques très poussées (et qui me notent trop d’informations par rapport à ce que je demande!), et celles qui n’ont que très peu d’informations car elles ne se sont jamais posé la question de leurs origines. Dans tous les cas, je peux travailler, rassurez-vous 😉! D’ailleurs, à l’origine de mon soin LIGHT, je ne demandais que les prénoms des parents et des grands-parents. Or, au fur et à mesure de mon évolution personnelle et de mes découvertes, j’ai pu observer que la génération des arrières-grands-parents a une influence importante sur notre vie. J’ai également observé des « fantômes » récurrents autour de la période 1914 – 1918 en France : la Grande Guerre a laissé des traces sombres, surtout dans les régions géographiques les plus concernées (Grand Est de la France).

À la fin du premier RDV, de nombreuses personnes ont trouvé intéressant de connaitre davantage d’informations au sujet de leurs racines familiales et ont posé des questions dans leur entourage familial. Mais si on veut connaitre l’histoire de notre arbre, le mieux est de réaliser des recherches généalogiques.

Par où commencer? Comment chercher? Quelles informations rechercher? Comment regrouper les informations recensées? La recherche peut s’avérer un véritable casse-tête, cet article pourra vous donner quelques pistes concrètes pour vous lancer dans vos propres recherches.

Mon Histoire en quelques lignes.

Avant de commencer, laissez-moi vous raconter un bout de mon parcours. Rien ne me prédestinait à m’intéresser à ce genre de sujet, absolument rien! J’ai détesté les cours d’Histoire – Géo dès l’école primaire, je préférais les mathématiques dans lesquelles j’étais très douée! J’ai suivi des études en diététique, dont les matières de base sont la biologie et la biochimie. Lorsque j’ai démarré une thérapie poussée et une remise en question en profondeur (fin 2010), j’ai opté pour une méthode d’apprentissage basée sur la plasticité cérébrale – tiens donc! – et totalement tournée sur le futur. Oui, seul le futur m’intéressait, car on peut le créer, j’avais l’illusion de pouvoir le maitriser. Alors que le passé est déjà écrit, on ne peut rien y changer. En prime, mon passé personnel était tellement empreint de mémoires difficiles que je n’avais guère envie de me plonger en plus dans la vie de mes ancêtres… 😰😱

Sauf que… Les vibrations du passé m’ont rattrapée, malgré tout ce que je mettais en place dans ma thérapie personnelle. Je ne comprenais pas pourquoi je continuais de tourner en rond et de voir des effondrements répétés dans ma vie personnelle, professionnelle, financière… 😔 Puisque j’avais développé mes antennes de passeuse d’âmes, je m’en suis servie pour continuer de cheminer vers ma libération intérieure et ma guérison. Je suis la première cobaye de ma méthode de soin vibratoire, j’ai navigué dans le brouillard pendant des années. Petit à petit, mes antennes m’ont dirigée vers mon arbre généalogique, les vibrations personnelles de mes ancêtres, et les vibrations collectives. Nous étions déjà en 2022.

Pour démarrer mes recherches, j’avais un document synthétisant les informations de mon arbre grâce aux questions posées aux parents directs il y a fort longtemps. Puis, j’ai pu aller plus loin grâce aux recherches d’une de mes cousines passionnée de généalogie. J’avoue que cela m’a grandement aidée, car les recherches étaient déjà faites, il me suffisait d’en lire les éléments principaux. J’ai rajouté les informations sur mon document personnel, et à ce moment-là, cela me suffisait. Du moins, c’est ce que je croyais 😅!

Par la suite, il m’est arrivé régulièrement d’être « appelée » par des recherches, j’ai donc découvert comment les faire. J’y ai parfois passé des journées entières jusqu’à ce que je trouve l’information qui avait besoin de ressortir. À chaque fois que cela s’est produit, je me suis libérée d’un fantôme transgénérationnel. C’était parfois éprouvant, mais tellement libérateur! En réalité, je ne cherchais pas seulement des informations intellectuelles pour nourrir mon esprit curieux, j’étais en quête d’un noeud vibratoire qui bloquait la circulation de la vie dans la matière, et qui se manifestait sous la forme de blocages dans ma propre vie. Ma méthode fut longue… mais efficace!

Passons désormais aux choses concrètes.

Par où commencer vos recherches?

La première chose à faire quand on s’intéresse à l’histoire de la famille, c’est de poser des questions aux personnes de la famille, justement! Et au maximum de personnes différentes pour récolter des informations variées. N’oubliez pas de prendre des notes, la mémoire peut vite saturer d’informations… Si votre famille est hermétique à ce genre de sujet et que vos questions dérangent, contentez-vous des informations purement administratives (voir liste ci-dessous), cela suffit pour démarrer les recherches. De plus, il y a peut-être dans votre famille une personne qui a déjà entamé ce travail de recherches généalogiques : demandez, et vous saurez.

Vous pouvez faire un tour sur le site Généanet, il est très bien fait, et peut être utile même en gardant la version gratuite. Cependant, de nombreuses fonctionnalités sont réservées aux abonnés ; avant de payer un abonnement, vérifiez que cela correspond à vos besoins.

Si vous avez envie de creuser le sujet par vous-même, j’ai trouvé des articles intéressants sur ce site. Vous y trouverez des tas de conseils sur les logiciels de généalogie ou des fichiers à télécharger gratuitement.  Il existe de nombreux modèles qui peuvent être très utiles pour démarrer. Vous pourrez y noter vos ascendants directs, à savoir les parents de vos parents, puis les parents de vos grands-parents, et ainsi de suite.

J’ai vite abandonné ces modèles qui limitent les recherches aux seuls parents. Pour bien comprendre l’histoire de sa famille et voir la dynamique d’un arbre généalogique, il me parait essentiel de noter les autres enfants d’une fratrie, qu’il s’agisse de vos parents, grands-parents, ou arrières-grands-parents. Y a-t-il une dominance de filles ou de garçons? Un couple a-t-il eu beaucoup d’enfants ou au contraire un seul? Y a-t-il eu des enfants décédés dans une fratrie? Toutes ces informations ont une grande importance à mes yeux.

À la lumière de mon expérience depuis 2 ans, j’ai créé mon propre document Power Point. Il comporte plusieurs pages, ce qui permet de noter beaucoup d’informations de façon claire et synthétique, même en remontant en 1750! (oui, j’ai pu trouver des ancêtres de cette époque!). Ma méthodologie permet d’aller à l’essentiel, tout en étant relativement complète. Voici un aperçu de l’onglet des ascendants sur 3 générations :

Ce document est désormais disponible en téléchargement sur ma boutique en ligne.

Où chercher les informations? 

À l’heure d’internet, les recherches généalogiques basiques sont très faciles à faire depuis chez soi! En effet, tous les documents anciens (avant 1920) sont numérisés dans les archives d’état civil de chaque département. Ces documents sont classés par commune, c’est pourquoi il est très important de connaitre ces informations pour remonter l’histoire de votre arbre généalogique.

Vous pouvez retrouver sur ce site officiel tous les liens directs permettant d’accéder aux archives du département recherché. Vous pourrez également faire une recherche dans la base de noms et retrouver les individus décédés au cours des guerres, notamment les soldats morts pour la France en 14-18. On apprend beaucoup de choses grâce aux documents militaires… pensez-y!

N’oubliez pas de faire un tour sur Généanet. Vous rencontrerez peut-être un(e) passionné(e) de généalogie qui a déjà noté des informations sur vos ancêtres.

Quelles informations récolter?

Prenez bien soin de noter les informations suivantes pour pouvoir continuer vos recherches en toute efficacité :

• Identité précise : prénom(s), nom de naissance
• Date de naissance
• Lieu de naissance : ville, département
• Date et lieu de mariage
• Identité du conjoint
• Date et lieu de décès

Vous n’imaginez pas le nombre de choses que l’on peut apprendre sur l’histoire d’une famille avec ces simples informations! Il y aurait tellement à dire… je pourrais en écrire un livre entier! L’objet de cet article est surtout d’éveiller votre curiosité et de vous ouvrir à quelques pistes de recherche.

L’arbre généalogique est un immense puzzle… sans fin!

Faire des recherches sur l’histoire de ses ancêtres demande : du temps (grand luxe de nos jours!), de la concentration, une bonne organisation et un cadre structuré. En effet, on peut vite se perdre dans les méandres des racines familiales…

Trouver des informations sur l’histoire de vos ancêtres peut nourrir votre intellect ou votre émotionnel, mais ce n’est pas l’intérêt le plus important à mes yeux. Selon moi, ce travail de recherches généalogiques n’a de sens que si on le confronte à une libération des mémoires transgénérationnelles et une guérison vibratoire. Et ça, c’est mon job en soin de l’âme!

J’ai toujours adoré les puzzles, et mon esprit de synthèse me permet d’aller à l’essentiel dans mes recherches. Cela m’a beaucoup aidée à ne pas m’égarer dans l’histoire de mes ancêtres. Leur vie, ce n’est pas la mienne, ne l’oublions pas! Par contre, s’il reste des noeuds coincés dans les racines familiales et que cela impacte MA vie… pas question de trainer ces vibrations avec moi!! 😠

Si la simple idée de faire des recherches généalogiques vous décourage mais que vous souhaitez creuser dans vos racines familiales, vous pouvez me confier ce projet! En effet, je vous propose désormais un tout nouveau service en complément du soin de l’âme : « Mes racines vibratoires ».

Je suis France Claire, chasseuse de fantômes et élagueuse d’arbre généalogique!

👻👻👻👻🌳🪚

Qu’on se le dise…

À bientôt!

P.S. Finalement… mon aversion pour l’Histoire-Géo n’était peut-être pas un hasard… Mes antennes de passeuse d’âmes n’étaient pas encore prêtes à plonger dans le passé, cet endroit sombre où les fantômes règnent et nous disent « Bouh! ». Merci la Vie de m’avoir protégée en gardant fermée la boite aux fantômes… maintenant je suis prête!